« Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs [...] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler... si vous ajoutez le bruit et l'odeur, hé bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela » ( 19 juin 91)
« S'il y avait moins d'immigrés, il y'aurait moins de chômage, moins de tension dans certaines villes et certains quartiers, un moindre coût social
Libération » (30 octobre 1984)
« Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais qui travaillent chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans ou des noirs. » Dîner-débat à Orléans (19 juin 1991)
« Le travailleur français [et] sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 kF, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, 3/4 épouses, et une 20aine de gosses, et qui gagne 50 kF de prestations sociales, sans naturellement travailler » (19/6/91)
« Je suis fier de l'oeuvre coloniale de la France. Il n'y a que les intello-gaucho-masochistes pour critiquer cela. C'est pourtant une image superbe de la France. Quand Jacques Médecin inaugure, à Nice une place de l'Indochine, je dis qu'il à raison. » Libération - 12/03/1988
« Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas. » (1978)
« Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre »
« Le rôle du Président, je dirais, s'impose comme gardien dans le domaine de la vigilance. » (14 juillet 1997)
« Il est donc indispensable que l'on retienne le principe que toute agression, tout délit doit être sanctionné au premier délit. C'est ce qu'on appelle la tolérance zéro » (2001 - il signe le même jour le traditionnel décret d'amnistie)
« Grâce à Internet ces jeunes peuvent recevoir les propositions. Notre excellent animateur a tapé le métier de boulanger en Belgique et immédiatement se sont inscrites à l'écran 6 propositions d'emplois instantanés en Belgique pour un jeune boulanger. »
(Esp. cyber jeune, 21/1/97)
« Nous avons tous constaté qu'à la fracture sociale s'ajoute aujourd'hui une distance croissante entre le peuple et ceux qui ont vocation à le représenter. » (19/5/95)
« Être dans le vent c'est avoir un destin de feuilles mortes. »
« Il y a beaucoup de choses que j'aime à part le football et la bière. » (30/8/98)
« Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, c'est ce que j'ai toujours dit » (1988)
A la suite de la mort de Ronald Reagan Chirac a, dans un communiqué officiel, salué la mémoire du disparu. Saluer la mémoire d'une vitime de la maladie d'Alzheimer voilà bien qui caractérise la profondeur de pensée de l'autiste de l'Elysée.
NDLR : Comme quoi on peut sortir de l'Ena, être président de la République, et témoigner régulièrement d'une pauvreté d'esprit affligeante.
Avec un président comme Chirac, j'ai honte d'être français.
« S'il y avait moins d'immigrés, il y'aurait moins de chômage, moins de tension dans certaines villes et certains quartiers, un moindre coût social
Libération » (30 octobre 1984)
« Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais qui travaillent chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans ou des noirs. » Dîner-débat à Orléans (19 juin 1991)
« Le travailleur français [et] sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 kF, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, 3/4 épouses, et une 20aine de gosses, et qui gagne 50 kF de prestations sociales, sans naturellement travailler » (19/6/91)
« Je suis fier de l'oeuvre coloniale de la France. Il n'y a que les intello-gaucho-masochistes pour critiquer cela. C'est pourtant une image superbe de la France. Quand Jacques Médecin inaugure, à Nice une place de l'Indochine, je dis qu'il à raison. » Libération - 12/03/1988
« Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas. » (1978)
« Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre »
« Le rôle du Président, je dirais, s'impose comme gardien dans le domaine de la vigilance. » (14 juillet 1997)
« Il est donc indispensable que l'on retienne le principe que toute agression, tout délit doit être sanctionné au premier délit. C'est ce qu'on appelle la tolérance zéro » (2001 - il signe le même jour le traditionnel décret d'amnistie)
« Grâce à Internet ces jeunes peuvent recevoir les propositions. Notre excellent animateur a tapé le métier de boulanger en Belgique et immédiatement se sont inscrites à l'écran 6 propositions d'emplois instantanés en Belgique pour un jeune boulanger. »
(Esp. cyber jeune, 21/1/97)
« Nous avons tous constaté qu'à la fracture sociale s'ajoute aujourd'hui une distance croissante entre le peuple et ceux qui ont vocation à le représenter. » (19/5/95)
« Être dans le vent c'est avoir un destin de feuilles mortes. »
« Il y a beaucoup de choses que j'aime à part le football et la bière. » (30/8/98)
« Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, c'est ce que j'ai toujours dit » (1988)
A la suite de la mort de Ronald Reagan Chirac a, dans un communiqué officiel, salué la mémoire du disparu. Saluer la mémoire d'une vitime de la maladie d'Alzheimer voilà bien qui caractérise la profondeur de pensée de l'autiste de l'Elysée.
NDLR : Comme quoi on peut sortir de l'Ena, être président de la République, et témoigner régulièrement d'une pauvreté d'esprit affligeante.
Avec un président comme Chirac, j'ai honte d'être français.