J'adore danser, depuis très jeune. A l'époque, dans les années 60 (Oui grand père, raconte nous le temps "lontan" comme on dit à la Réunion) j'allais danser le dimanche dans les dancings à parquet ciré de Bordeaux. En ce temps là on ne payait pas à l'entrée, on payait dès que l'on s'asseyait. C'est comme cela que j'ai appris à danser les danses de l'époque ; tango, paso doble, slow etc.
N'ayant pas d'argent, je n'avais pas le droit de m'assoir. Il fallait constamment danser sinon le serveur vous tombait dessus : "- Et pour monsieur, qu'est que ce sera ?" Il m'a donc fallu apprendre à danser très correctement afin de pouvoir danser un maximum de temps. Et ne pas me faire jeter au premier slow ! C'est d'ailleurs dans ces circonstances que j'ai connu ma première femme. Avec qui je suis resté 15 ans et dont j'ai eu mes deux premiers enfants.
En ce temps là pour danser il allait impérativement une partenaire. Il fallait donc faire systématiquement, et patiemment, le tour des tables et inviter poliment ces demoiselles. Bien entendu on prenait un nombre considérable de rateaux. Surtout que les demoiselles se déplacent généralement en groupe et que si celle à qui vous vous adressez décline votre invitation vous avez peu de chances avec les autres. C'est pour cela que l'arrivée de la période yéyé a été pour moi une vraie bénédiction.
En effet, pour la première fois on pouvait danser sans partenaire. Moi qui ait horreur de quémander, surtout auprès des personnes du sexe dit faible, ce fut une vraie délivrance. Je me suis donc déchainé sur le twist, le disco et toutes les danses qui ont suivi.
Par la suite j'ai complété ma formation lors de mes 15 années passées aux Antilles. Là, j'ai véritablement appris à tortiller élégamment du cul, et en cadence. Si vous ajoutez à cela mes dix années à la Réunion et surtout mes très nombreuses séjours à Madagascar vous comprendrez pourquoi, chaque fois ou presque, c'est moi qui ouvre le bal au Reggae Pub. Quand je ne danse pas seul sur la scène, généralement en fin de soirée, et sans être éméché le moins du monde.
Bien entendu, j'aime beaucoup aussi danser avec une partenaire. Malheureusement, il n'y a plus de slows, encore moins de tangos, ce qui fait que les occasions de danser à deux deviennent très rares. A Madagascar ce n'était pas un problème car la bas les filles n'hésitent pas à tomber dans vos bras, surtout quand elles voient que vous ne dansez pas trop mal. En Thaïlande ce n'est pas le cas même si les filles qui fréquentent le Reggae Pub sont, en majorité tout à fait "disponibles" moyennant finances, bien entendu. En effet, les jeunes femmes sont généralement, dans ce pays, d'une timidité effroyable, et elles ne se lâchent que très rarement. Surtout en public. Quand elles se lâchent en public, généralement, c'est qu'elles ont bu. Il se trouve que le SamSong, le whisky local est un tord boyau très peu cher mais redoutable. Or, si une femme un peu "pompette" ne manque pas de charme, une femme qui vous vomit dessus en pleine action, c'est rédhibitoire.
Mais je ne vais pas au Reggae Pub pour chercher une bonne fortune. Il existe tellement de bars à Samui, et partout en Thaïlande, où trouver ce que l'on cherche, que ce n'est vraiment pas un problème. Encore que là aussi la timidité des femmes Thaïes peut constituer un problème.
De fait, c'est un scoop, si la Thaïlande est une destination sexuelle depuis fort longtemps, les femmes de petite vertu de ce pays, et elles sont plutôt nombreuses, sont généralement très peu sensuelles. Il y a bien sûr des exceptions, mais elles sont plutôt rares. Ce qui n'est absolument pas le cas à Madagascar ou à Saint Domingue, par exemple. En Thaïlande le sexe est partout mais on appelle cela "boum boum". C'est tout dire.
Vous allez me dire, à Paris en particulier et dans le monde en général, les prostituées ne font pas cela pour le plaisir. Certes, mais c'est bien pourquoi je n'irai jamais avec une "professionnelle" dans ces contrées asexuées. A Mada, et à Saint Domingue, en revanche, vous pouvez véritablement avoir, pour le même prix, une vraie relation sexuelle. Car les filles de ces pays, que je ne qualifierais jamais de prostituées, adorent s'amuser en travaillant. Pour peu qu'on veuille bien leur en donner l'occasion, évidemment.
En Thaïlande, en revanche, le boum boum est à la sexualité ce que Sarkozy est à la (vraie) politique, à savoir l'esquisse d'une ébauche !
La suite, prochainement, en rubrique sexualité.
N.B
Vous constaterez que je suis passé, sensiblement, de la danse à la sexualité, mais n'importe quel psy vous confirmera que cela n'a absolument rien d'étonnant.
N'ayant pas d'argent, je n'avais pas le droit de m'assoir. Il fallait constamment danser sinon le serveur vous tombait dessus : "- Et pour monsieur, qu'est que ce sera ?" Il m'a donc fallu apprendre à danser très correctement afin de pouvoir danser un maximum de temps. Et ne pas me faire jeter au premier slow ! C'est d'ailleurs dans ces circonstances que j'ai connu ma première femme. Avec qui je suis resté 15 ans et dont j'ai eu mes deux premiers enfants.
En ce temps là pour danser il allait impérativement une partenaire. Il fallait donc faire systématiquement, et patiemment, le tour des tables et inviter poliment ces demoiselles. Bien entendu on prenait un nombre considérable de rateaux. Surtout que les demoiselles se déplacent généralement en groupe et que si celle à qui vous vous adressez décline votre invitation vous avez peu de chances avec les autres. C'est pour cela que l'arrivée de la période yéyé a été pour moi une vraie bénédiction.
En effet, pour la première fois on pouvait danser sans partenaire. Moi qui ait horreur de quémander, surtout auprès des personnes du sexe dit faible, ce fut une vraie délivrance. Je me suis donc déchainé sur le twist, le disco et toutes les danses qui ont suivi.
Par la suite j'ai complété ma formation lors de mes 15 années passées aux Antilles. Là, j'ai véritablement appris à tortiller élégamment du cul, et en cadence. Si vous ajoutez à cela mes dix années à la Réunion et surtout mes très nombreuses séjours à Madagascar vous comprendrez pourquoi, chaque fois ou presque, c'est moi qui ouvre le bal au Reggae Pub. Quand je ne danse pas seul sur la scène, généralement en fin de soirée, et sans être éméché le moins du monde.
Bien entendu, j'aime beaucoup aussi danser avec une partenaire. Malheureusement, il n'y a plus de slows, encore moins de tangos, ce qui fait que les occasions de danser à deux deviennent très rares. A Madagascar ce n'était pas un problème car la bas les filles n'hésitent pas à tomber dans vos bras, surtout quand elles voient que vous ne dansez pas trop mal. En Thaïlande ce n'est pas le cas même si les filles qui fréquentent le Reggae Pub sont, en majorité tout à fait "disponibles" moyennant finances, bien entendu. En effet, les jeunes femmes sont généralement, dans ce pays, d'une timidité effroyable, et elles ne se lâchent que très rarement. Surtout en public. Quand elles se lâchent en public, généralement, c'est qu'elles ont bu. Il se trouve que le SamSong, le whisky local est un tord boyau très peu cher mais redoutable. Or, si une femme un peu "pompette" ne manque pas de charme, une femme qui vous vomit dessus en pleine action, c'est rédhibitoire.
Mais je ne vais pas au Reggae Pub pour chercher une bonne fortune. Il existe tellement de bars à Samui, et partout en Thaïlande, où trouver ce que l'on cherche, que ce n'est vraiment pas un problème. Encore que là aussi la timidité des femmes Thaïes peut constituer un problème.
De fait, c'est un scoop, si la Thaïlande est une destination sexuelle depuis fort longtemps, les femmes de petite vertu de ce pays, et elles sont plutôt nombreuses, sont généralement très peu sensuelles. Il y a bien sûr des exceptions, mais elles sont plutôt rares. Ce qui n'est absolument pas le cas à Madagascar ou à Saint Domingue, par exemple. En Thaïlande le sexe est partout mais on appelle cela "boum boum". C'est tout dire.
Vous allez me dire, à Paris en particulier et dans le monde en général, les prostituées ne font pas cela pour le plaisir. Certes, mais c'est bien pourquoi je n'irai jamais avec une "professionnelle" dans ces contrées asexuées. A Mada, et à Saint Domingue, en revanche, vous pouvez véritablement avoir, pour le même prix, une vraie relation sexuelle. Car les filles de ces pays, que je ne qualifierais jamais de prostituées, adorent s'amuser en travaillant. Pour peu qu'on veuille bien leur en donner l'occasion, évidemment.
En Thaïlande, en revanche, le boum boum est à la sexualité ce que Sarkozy est à la (vraie) politique, à savoir l'esquisse d'une ébauche !
La suite, prochainement, en rubrique sexualité.
N.B
Vous constaterez que je suis passé, sensiblement, de la danse à la sexualité, mais n'importe quel psy vous confirmera que cela n'a absolument rien d'étonnant.