"Avec du matériel réduit au strict minimum et une imagination débordante, Yann Frisch a emporté avec lui une salle entière dans son univers décalé, bancal, drôle et inquiétant. En cinq minutes, il a fait voler en éclat l’image de la magie, les certitudes de certains persuadés que tout réside dans le truc. C’est que Yann Frisch est à des années lumières des préoccupations du prestidigitateur lambda.
Le véritable travail artistique commence là où la technicité est oubliée, où le truc n’est plus qu’un accessoire au service d’un message, d’une histoire, d’un scénario. Commence alors le travail de la mise en scène et du jeu du comédien. L’art n’est pas donné à tout le monde. C’est une sorte d’alchimie qui se produit comme par miracle. Yann a atteint cette alchimie particulière comme touché par la grâce."
Extrait d'un article de Sébastien Bazou
Le véritable travail artistique commence là où la technicité est oubliée, où le truc n’est plus qu’un accessoire au service d’un message, d’une histoire, d’un scénario. Commence alors le travail de la mise en scène et du jeu du comédien. L’art n’est pas donné à tout le monde. C’est une sorte d’alchimie qui se produit comme par miracle. Yann a atteint cette alchimie particulière comme touché par la grâce."
Extrait d'un article de Sébastien Bazou
Ceux qui partent d'Omelas, une magnifique nouvelle d'Ursula K. Le Guin