De gauche à droite : Bahami, Noah, McEnroe et Leconte
Leconte a bien changé ! Non dans son jeu, mais dans sa ligne !
À l'évidence, les trois autres, eux, ont fait ce qu'il faut pour conserver une silhouette sportive.
Et, des quatre, McEnroe est le seul à garder son sérieux. Il faut dire que cet immense joueur a toujours eu du mal à perdre, même quand il joue en démonstration.
J'adore l'incroyable Mansour Barahmi, le plus âgé des 4, il est né en 1956, qui fait encore des choses incroyables avec sa raquette.
Il me rappelle un autre magicien du tennis, Dustin Brown, jamaïco-allemand, beaucoup plus jeune, mais très « spécial » également dans sa façon de jouer. Brown et Bahrami effectuent des gestes techniques très difficiles et très similaires. Notamment en matière d'amorties et de retours dos au filet et entre les jambes.
Si vous ne connaissez ni l'un ni l'autre, tapez leur nom dans Youtube et vous trouverez quantité de vidéos, aussi réjouissantes que techniquement incroyables.
J'adore quand les grands joueurs de tennis ne se prennent pas au sérieux et tentent des choses incroyables. Dans ce genre, Dustin Brown est pour moi inégalable. Avec Bahrami, juste derrière. Bizarrement, il semble qu'ils n'aient jamais joué ensemble. Ils ne doivent pas s'apprécier. Ils sont bien les seuls.
Ceux qui partent d'Omelas, une magnifique nouvelle d'Ursula K. Le Guin