Kho Samui, Thaïlande : Honda Shadow 150. La photo n'est pas terrible, mais ce n'est pas moi qui l'ai prise, et ce n'était pas avec mon appareil 😉
J'ai retrouvé cette photo qui m'a rappelé de bons souvenirs. Je l'avais acheté sur un coup de cœur à Chiang Maï, Thaïlande.
J'étais arrivé à Chiang Maï en avion depuis l'ïle de Kho Samui où j'habitais à l'époque. J'ai acheté cette moto, customisée Harley Davidson et en parfait état, à un américain dans la dèche qui avait besoin d'argent.
J'ai renvoyé ma grosse valise à Kho Samui par la poste et je suis rentré avec ma nouvelle acquisition. 1 500 km, sur une moto que je ne connaissais pas, et dans un pays où les routes étaient classées 2ᵉ dans la liste des routes les plus dangereuses du monde. Sans aucun problème.
À cette époque il y avait très peu de motos sur les routes de Thaïlande. Et, encore moins de motocyclistes seuls, sur une 150 ! Les quelques motocyclistes locaux que j'ai croisés, hors des agglomérations, ne circulaient qu'en bande, très organisée.
Au total, j'ai pratiqué la moto durant plus de 40 ans.
J'ai acheté ma première moto en France en 1975 alors que j'étais en poste au rectorat de Rouen. Lorsque j'allais représenter le rectorat dans un lycée ou collège, j'enlevais ma combinaison (à Rouen, il pleut souvent) et je laissais ma moto, une 125 Honda CG, en dehors de l'établissement.
Par la suite, même si j'ai eu des voitures (je fus en famille avec des enfants) j'ai toujours utilisé une moto quand j'étais seul.
Ce fut le cas aux Antilles pendant 15 ans, à la Réunion durant 11 ans, puis lorsque j'ai pris ma retraite, en Thaïlande : sept ans, avec enfin des motos et des scooters de plus de 125 cm3, car dans ce pays, il n'y avait qu'un seul permis, de 50 à 1300 cm3, enfin en Crète pendant deux ans.
Lorsque j'étais à la Réunion, j'ai découvert Madagascar et depuis, chaque fois que j'avais des vacances, c'est-à-dire fréquemment (je travaillais dans l'Éducation nationale), je partais pour ce pays où j'ai eu l'occasion de faire de nombreux grands voyages à moto, toujours avec des 125. Notamment Tana/ Tamatave (1 000 km aller et retour), que j'ai fait plusieurs fois. Mada était moins dangereuse à moto que la Thaïlande, mais plutôt rock'n roll quand même.
J'ai arrêté la moto à mon arrivée en Espagne, il y a cinq ans, car l'état de mon dos l'exigeait.
J'ai connu quelques gamelles à mes débuts, comme tous les motards, et sans gravité, mais n'ai jamais eu d'accident. Comme en voiture et j'ai mon permis depuis 1968.
j'ai adoré la moto. Pour voyager, c'est vraiment très agréable. Et, cela évite le problème n°1 des voitures, dans tous les pays du monde maintenant : le parking.
J'ai écrit un article sur la moto, intitulé « Vieux motard que jamais» que vous trouverez ici, si cela vous intéresse. Il a été lu plus de 6500 fois.
Cliquez ici pour voir un diaporama de mes nombreuses motos
N.B Cliquer sur la photo puis sur le i entouré d'un cercle pour voir les légendes. Ensuite, sur les trois points du menu, en haut à droite pour relancer le diaporama. Mais, si vou êtes intéressé par les légendes, il vaut mieux regarder les photos une par une.
J'étais arrivé à Chiang Maï en avion depuis l'ïle de Kho Samui où j'habitais à l'époque. J'ai acheté cette moto, customisée Harley Davidson et en parfait état, à un américain dans la dèche qui avait besoin d'argent.
J'ai renvoyé ma grosse valise à Kho Samui par la poste et je suis rentré avec ma nouvelle acquisition. 1 500 km, sur une moto que je ne connaissais pas, et dans un pays où les routes étaient classées 2ᵉ dans la liste des routes les plus dangereuses du monde. Sans aucun problème.
À cette époque il y avait très peu de motos sur les routes de Thaïlande. Et, encore moins de motocyclistes seuls, sur une 150 ! Les quelques motocyclistes locaux que j'ai croisés, hors des agglomérations, ne circulaient qu'en bande, très organisée.
Au total, j'ai pratiqué la moto durant plus de 40 ans.
J'ai acheté ma première moto en France en 1975 alors que j'étais en poste au rectorat de Rouen. Lorsque j'allais représenter le rectorat dans un lycée ou collège, j'enlevais ma combinaison (à Rouen, il pleut souvent) et je laissais ma moto, une 125 Honda CG, en dehors de l'établissement.
Par la suite, même si j'ai eu des voitures (je fus en famille avec des enfants) j'ai toujours utilisé une moto quand j'étais seul.
Ce fut le cas aux Antilles pendant 15 ans, à la Réunion durant 11 ans, puis lorsque j'ai pris ma retraite, en Thaïlande : sept ans, avec enfin des motos et des scooters de plus de 125 cm3, car dans ce pays, il n'y avait qu'un seul permis, de 50 à 1300 cm3, enfin en Crète pendant deux ans.
Lorsque j'étais à la Réunion, j'ai découvert Madagascar et depuis, chaque fois que j'avais des vacances, c'est-à-dire fréquemment (je travaillais dans l'Éducation nationale), je partais pour ce pays où j'ai eu l'occasion de faire de nombreux grands voyages à moto, toujours avec des 125. Notamment Tana/ Tamatave (1 000 km aller et retour), que j'ai fait plusieurs fois. Mada était moins dangereuse à moto que la Thaïlande, mais plutôt rock'n roll quand même.
J'ai arrêté la moto à mon arrivée en Espagne, il y a cinq ans, car l'état de mon dos l'exigeait.
J'ai connu quelques gamelles à mes débuts, comme tous les motards, et sans gravité, mais n'ai jamais eu d'accident. Comme en voiture et j'ai mon permis depuis 1968.
j'ai adoré la moto. Pour voyager, c'est vraiment très agréable. Et, cela évite le problème n°1 des voitures, dans tous les pays du monde maintenant : le parking.
J'ai écrit un article sur la moto, intitulé « Vieux motard que jamais» que vous trouverez ici, si cela vous intéresse. Il a été lu plus de 6500 fois.
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N.B Cliquer sur la photo puis sur le i entouré d'un cercle pour voir les légendes. Ensuite, sur les trois points du menu, en haut à droite pour relancer le diaporama. Mais, si vou êtes intéressé par les légendes, il vaut mieux regarder les photos une par une.