C'était ma première fois dans les Canaries. Mais pas la dernière, car après avoir découvert Tenerife, j'aimerais bien découvrir également les autres îles Canaries.
Tenerife offre beaucoup d'avantages :
En hiver, c'est le climat le plus agréable de toute l'Europe. Au mois de janvier, 17° le nuit, 20 à 23, le jour. Plus, évidemment, du grand soleil au quotidien.
Le coût de la vie y est moins élevé que sur le continent et je rappelle que le coût de la vie en Espagne est déjà bien moins élevé qu'en France. La TVA, à Tenerife, y est à 7% au lieu de 21.
De plus, j'ai appris que les résidents ont beaucoup d'avantages : tarifs réduits sur les attractions et sur les voyages à destination du continent. Fiscalement, je ne me suis pas intéressé à cette question, car, fonctionnaire à la retraite, je paie mes impôts en France depuis toujours. Mais, je présume qu'ils doivent être moins élevés que sur le continent, dans lequel ils sont plus élevés qu'en France. Ajoutés au climat printanier en hiver, cela commence à faire beaucoup d'avantages.
Mais, il y a un gros bémol : cette île est déjà surpeuplée. Un million d'habitants, plus, toute l'année, des millions de touristes. C'est beaucoup.
On le comprend dès l'arrivée en avion, la nuit. Même à une altitude respectable, on voit de la lumière partout. On le vérifie le lendemain matin : beaucoup trop de voitures et pas assez de parkings.
Je me suis souvent baladé pendant ces sept jours, sur un scooter 125, tout autour de l'île deux fois et à l'intérieur par deux fois également. Excepté la région du volcan Teide qui est un parc naturel, donc interdit aux promoteurs immobiliers, dans tout le reste de l'île il n'y a pas beaucoup de mètres carrés de libres. Aussi bien en bas, en bord de mer qu'en haut, sur les montagnes. Surtout quand elles ont une imprenable sur la mer. Dès mon arrivée, j'ai compris que louer une voiture ne serait pas une bonne idée du tout et j'ai opté pour un deux roues. Bien m'en a pris, j'ai retrouvé rapidement mes habitudes motardes de la Réunion où j'ai vécu 11 ans, et qui connaissait, elle aussi, les mêmes problèmes de surpopulation routière. J'ai ainsi pu doubler allègrement de longues files de voiture et ignorer les problèmes de parking. En voiture, je me connais, je n'aurais pas tenu sept jours ! Dimanche dernier, du côté de Masca, dans les montagnes du nord-ouest, j'ai vu des embouteillages et des conducteurs du dimanche qui ne connaissent pas ce genre de routes de montagne s'arrêter carrément lorsqu'ils se croisaient. Avec le nombre de voitures qui suivaient les deux files, bonjour les dégâts.
Tenerife offre beaucoup d'avantages :
En hiver, c'est le climat le plus agréable de toute l'Europe. Au mois de janvier, 17° le nuit, 20 à 23, le jour. Plus, évidemment, du grand soleil au quotidien.
Le coût de la vie y est moins élevé que sur le continent et je rappelle que le coût de la vie en Espagne est déjà bien moins élevé qu'en France. La TVA, à Tenerife, y est à 7% au lieu de 21.
De plus, j'ai appris que les résidents ont beaucoup d'avantages : tarifs réduits sur les attractions et sur les voyages à destination du continent. Fiscalement, je ne me suis pas intéressé à cette question, car, fonctionnaire à la retraite, je paie mes impôts en France depuis toujours. Mais, je présume qu'ils doivent être moins élevés que sur le continent, dans lequel ils sont plus élevés qu'en France. Ajoutés au climat printanier en hiver, cela commence à faire beaucoup d'avantages.
Mais, il y a un gros bémol : cette île est déjà surpeuplée. Un million d'habitants, plus, toute l'année, des millions de touristes. C'est beaucoup.
On le comprend dès l'arrivée en avion, la nuit. Même à une altitude respectable, on voit de la lumière partout. On le vérifie le lendemain matin : beaucoup trop de voitures et pas assez de parkings.
Je me suis souvent baladé pendant ces sept jours, sur un scooter 125, tout autour de l'île deux fois et à l'intérieur par deux fois également. Excepté la région du volcan Teide qui est un parc naturel, donc interdit aux promoteurs immobiliers, dans tout le reste de l'île il n'y a pas beaucoup de mètres carrés de libres. Aussi bien en bas, en bord de mer qu'en haut, sur les montagnes. Surtout quand elles ont une imprenable sur la mer. Dès mon arrivée, j'ai compris que louer une voiture ne serait pas une bonne idée du tout et j'ai opté pour un deux roues. Bien m'en a pris, j'ai retrouvé rapidement mes habitudes motardes de la Réunion où j'ai vécu 11 ans, et qui connaissait, elle aussi, les mêmes problèmes de surpopulation routière. J'ai ainsi pu doubler allègrement de longues files de voiture et ignorer les problèmes de parking. En voiture, je me connais, je n'aurais pas tenu sept jours ! Dimanche dernier, du côté de Masca, dans les montagnes du nord-ouest, j'ai vu des embouteillages et des conducteurs du dimanche qui ne connaissent pas ce genre de routes de montagne s'arrêter carrément lorsqu'ils se croisaient. Avec le nombre de voitures qui suivaient les deux files, bonjour les dégâts.
En revanche, lorsqu'on arrive à circuler, on découvre des paysages magnifiques, notamment du côté du nord-ouest de l'île où c'est carrément comme sur la Riviera italienne ou française, ou dans certaines régions comme celle de Masca où les paysages n'ont rien à envier à ceux des westerns américains.
J'ai fait deux fois la balade incontournable du Teide, à l'intérieur des terres, une fois par le nord, une autre fois par le sud. À ce propos, la balade par le sud est beaucoup plus belle et agréable que la balade par le nord.
À mon sens, les endroits les plus intéressants sont ceux de l'intérieur où il n'y a que les voitures des touristes et très peu de béton. Partout ailleurs, on n'est pas dépaysé, car cela ressemble à tous les lieux hyper urbanisés du monde. Dès que vous quittez la voiture, il faut une bonne condition physique parce que, hormis le long de la mer, partout ailleurs, beaucoup des hôtels sont construits sur des pentes impressionnantes. Compte tenu des problèmes de parking, il vaut mieux laisser votre voiture à l'hôtel et descendre en ville ou à la plage à pied. Ce qui ne pose pas de problème, mais il faudra aussi remonter à l'hôtel, ce qui peut poser des problèmes à certains, car les pentes de plus de 10 % ne sont pas rares.
La prochaine fois, je visiterai une, ou plusieurs, des autres îles Canaries. J'ai réellement apprécié le climat en hiver de ce voyage et si je trouve une île avec moins de circulation et plus de nature pas trop dénaturée, je pourrais bien déménager une fois de plus.
J'aime bien Cáceres où je réside depuis quelques mois. Cependant, la température n'a rien à voir avec celle de l'Andalousie où j'ai vécu six ans et encore moins celle des Canaries que je viens de découvrir. Le premier jour de mon séjour, quand je suis parti, il faisait un degré à Càceres le matin et 17 degrés, toujours le matin, à Puerto de la Cruz où j'ai séjourné. Je peux vous dire que ça change complètement la vie en hiver.
J'ai pu faire un certain nombre de photos dont vous trouverez une partie en annexe de cet article.