Le périple de Sarah : incroyable !
Et, tenez-vous bien, sans assistance, avec seulement un chien, hors des routes la plupart du temps, en mangeant et en buvant ce qu'elle trouve (dans le bush australien !) et en un an et demi.
Avec la circonstance aggravante d'être une femme seule dans une nature plutôt sauvage où, comme elle le dit, le plus grand danger ce n'est pas la nature, ce ne sont pas les animaux sauvages, c'est l'homme ! Sarah Marquis, c'est Mike Horn, au féminin. Chapeau bas, mademoiselle Marquis !
Pour ceux qui l'auraient perdu de vue, je rappelle qu'en Australie, à part sur les côtes, il n'y a rien que du désert la plupart du temps. Juste marcher dans le désert australien, c'est l'enfer. Alors, y subsister, c'est à dire manger et boire sans passer par un super marché, c'est complètement dingue !
Vous trouverez les autres aventures de Sarah sur Youtube. Elle a "optimisé" depuis son équipement : son sac à dos fait 17 kg (!) et sa petite "charrette" fait 50 kg (!!)
Avec la circonstance aggravante d'être une femme seule dans une nature plutôt sauvage où, comme elle le dit, le plus grand danger ce n'est pas la nature, ce ne sont pas les animaux sauvages, c'est l'homme ! Sarah Marquis, c'est Mike Horn, au féminin. Chapeau bas, mademoiselle Marquis !
Pour ceux qui l'auraient perdu de vue, je rappelle qu'en Australie, à part sur les côtes, il n'y a rien que du désert la plupart du temps. Juste marcher dans le désert australien, c'est l'enfer. Alors, y subsister, c'est à dire manger et boire sans passer par un super marché, c'est complètement dingue !
Vous trouverez les autres aventures de Sarah sur Youtube. Elle a "optimisé" depuis son équipement : son sac à dos fait 17 kg (!) et sa petite "charrette" fait 50 kg (!!)
Pour mieux connaître Sarah Marquis
Ceux qui partent d'Omelas, une magnifique nouvelle d'Ursula K. Le Guin