Vous trouverez le lien vers son billet ici :
En fait, Mermet, et "Là Bas si j'y suis "reviennent, mais sur Internet. Comme l'ont fait auparavant Schneidermann avec son Arrêt sur Images, Nagui avec son Taratata etc.
Radio France, qui avec la fin de "Là Bas" a quand même perdu quelques centaines de milliers d'auditeurs, et l'estime de beaucoup des autres, n'a toujours pas compris qu'en virant les gens les têtes qui dépassent elle assure leur promotion et multiplie leur audience. Mais que voulez-vous, c'est une radio d’État, et l’État en ce moment...
En tout état de cause, comme on dit chez moi "Que le cul leur pèle". Surtout celui de Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo : la vieillesse est un naufrage et pourtant celui-là sait nager.
Donc, le 21 janvier La bas si j'y suis repart, mais en version Internet et payante. Parce qu'en plus Radio France enrichit ceux qu'elle vire ! A mon avis, ce n'est pas gagné pour la nouvelle formule, les français n'aimant pas payer sur Internet, mais cette émission était tellement populaire et apportait un regard tellement inhabituel sur les ondes étatiques, que ça peut le faire.
Surtout par les temps qui courent où l'esprit critique n'est pas très répandu, c'est peu de le dire.
Souhaitons leur bon vent et laissons les petits vieux mourir d'ennui en écoutant France Inter, qui désormais ne laisse plus pointer la moindre différence.
Le retour de Là bas si j'y suis
Ils nous ont enterrés mais ils ignoraient que nous sommes des graines. C’est le premier message adressé par une auditrice après la suppression de Là-bas si j’y suis en juin dernier. Nous en avons fait un mot de passe pour tenir le coup et pour rebondir de plus belle. Nous sommes des graines. Mais aujourd’hui nous sommes sens dessus dessous. On enterre nos camarades de Charlie assassinés, c’est comme une étoile au fond d’un trou.
Lire la suite ici :
Cliquez ici pour écouter le podcast :
En fait, Mermet, et "Là Bas si j'y suis "reviennent, mais sur Internet. Comme l'ont fait auparavant Schneidermann avec son Arrêt sur Images, Nagui avec son Taratata etc.
Radio France, qui avec la fin de "Là Bas" a quand même perdu quelques centaines de milliers d'auditeurs, et l'estime de beaucoup des autres, n'a toujours pas compris qu'en virant les gens les têtes qui dépassent elle assure leur promotion et multiplie leur audience. Mais que voulez-vous, c'est une radio d’État, et l’État en ce moment...
En tout état de cause, comme on dit chez moi "Que le cul leur pèle". Surtout celui de Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo : la vieillesse est un naufrage et pourtant celui-là sait nager.
Donc, le 21 janvier La bas si j'y suis repart, mais en version Internet et payante. Parce qu'en plus Radio France enrichit ceux qu'elle vire ! A mon avis, ce n'est pas gagné pour la nouvelle formule, les français n'aimant pas payer sur Internet, mais cette émission était tellement populaire et apportait un regard tellement inhabituel sur les ondes étatiques, que ça peut le faire.
Surtout par les temps qui courent où l'esprit critique n'est pas très répandu, c'est peu de le dire.
Souhaitons leur bon vent et laissons les petits vieux mourir d'ennui en écoutant France Inter, qui désormais ne laisse plus pointer la moindre différence.
Le retour de Là bas si j'y suis
Ils nous ont enterrés mais ils ignoraient que nous sommes des graines. C’est le premier message adressé par une auditrice après la suppression de Là-bas si j’y suis en juin dernier. Nous en avons fait un mot de passe pour tenir le coup et pour rebondir de plus belle. Nous sommes des graines. Mais aujourd’hui nous sommes sens dessus dessous. On enterre nos camarades de Charlie assassinés, c’est comme une étoile au fond d’un trou.
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