Je me suis immédiatement inscrit.
4,20 euros par mois, sans frais de port désormais, c'est plus que raisonnable pour accéder au seul journal réellement indépendant de France. Depuis 1915 !
Non seulement ce journal est réellement indépendant, mais en plus il traite ses informations, généralement inédites et pratiquement jamais démenties dans les faits, avec humour. Ce qui, par les temps qui courent, ne peut pas faire de mal.
Signe éclatant de sa popularité : il est très lu dans les ministères et la plupart des personnes publiques pas très nettes dans leurs bottes (ça fait du monde) appréhendent le mercredi, immuable jour de sortie de ce vénérable « canard », jamais encore « enchaîné ».
N.B
Il se trouve que la numérisation du Canard date…d'un an !
Pardon d'arriver aussi en retard mais même Wikipédia, que j'ai consulté ce matin, n'est pas au courant de ce virage capital. Par ailleurs je fréquente assidûment le Web, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'entendre les concurrents du Canard s'exprimer sur cette reconversion pourtant historique.
J'ai retrouvé à cette occasion une interview intéressante par Sonia Devillers, de l'émission « l’Instant M » de France Inter, du plus haut responsable du Canard, sur ce sujet.
J'ai noté :
À la question de Sonia : Mediapart n'a-t-il pas ringardisé le Canard ?
La réponse a fusé : On est toujours le ringard de quelqu'un !
Ce n'est pas moi qui dirait le contraire.
Personnellement j'ai préféré m'abonner au Canard qu'à Mediapart parce
que Mediapart, que j'estime par ailleurs, n'a jamais chez moi provoqué ne serait-ce que l'esquisse d'un sourire.
Alors qu'à chaque lecture du Canard, j'éclate de rire au moins une fois, et je souris tout le temps.
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4,20 euros par mois, sans frais de port désormais, c'est plus que raisonnable pour accéder au seul journal réellement indépendant de France. Depuis 1915 !
Non seulement ce journal est réellement indépendant, mais en plus il traite ses informations, généralement inédites et pratiquement jamais démenties dans les faits, avec humour. Ce qui, par les temps qui courent, ne peut pas faire de mal.
Signe éclatant de sa popularité : il est très lu dans les ministères et la plupart des personnes publiques pas très nettes dans leurs bottes (ça fait du monde) appréhendent le mercredi, immuable jour de sortie de ce vénérable « canard », jamais encore « enchaîné ».
N.B
Il se trouve que la numérisation du Canard date…d'un an !
Pardon d'arriver aussi en retard mais même Wikipédia, que j'ai consulté ce matin, n'est pas au courant de ce virage capital. Par ailleurs je fréquente assidûment le Web, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'entendre les concurrents du Canard s'exprimer sur cette reconversion pourtant historique.
J'ai retrouvé à cette occasion une interview intéressante par Sonia Devillers, de l'émission « l’Instant M » de France Inter, du plus haut responsable du Canard, sur ce sujet.
J'ai noté :
À la question de Sonia : Mediapart n'a-t-il pas ringardisé le Canard ?
La réponse a fusé : On est toujours le ringard de quelqu'un !
Ce n'est pas moi qui dirait le contraire.
Personnellement j'ai préféré m'abonner au Canard qu'à Mediapart parce
que Mediapart, que j'estime par ailleurs, n'a jamais chez moi provoqué ne serait-ce que l'esquisse d'un sourire.
Alors qu'à chaque lecture du Canard, j'éclate de rire au moins une fois, et je souris tout le temps.
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