Personnellement je me fais régulièrement épiler, mais le dos seulement et depuis longtemps.
Pour le reste je le fais moi-même, pour tout le corps. Il existe maintenant d'excellentes tondeuses qui m'évitent ce genre de supplice. Sauf pour le dos évidemment.
J'ai pu constater qu'effectivement notre peau s'habitue à la douleur. Les premières fois lorsqu'on m'épilait certaines parties plus sensibles du dos, cela me faisait mal. À présent, je ne sens plus rien et même, je m'endormirais presque.
Il se trouve que je suis plutôt « métrosexuel », ce qui n'a rien à voir avec le métro et encore moins avec le sexe et qui signifie : « Relatif à un homme soigné, un citadin qui travaille son apparence » . Terme que l'on n'emploie plus beaucoup ; les hommes seraient-ils devenus tous métrosexuels ?
Je n'en suis pas persuadé, même si par rapport à ma jeunesse, il y a eu beaucoup de progrès.
Pourquoi suis-je, à 77 ans dans quelques jours, métrosexuel ?
Parce que, comme aimait à le dire le regretté Philippe Noiret : « Plus la marchandise vieillit, plus il faut soigner l'emballage ».
De plus, il est très pénible de constater chaque jour les ravages de l'âge sur notre peau, après 60 ans. Toutefois, concernant les hommes, il existe maintenant des cosmétiques qui peuvent aider à ralentir quelque peu le relâchement récurrent de notre épiderme.
Je l'ai constaté : on peut faire quelque chose (c'est du travail, et ce doit être quotidiennement) contre le vieillissement des articulations et des muscles jusqu'à un âge très avancé (77 ans, par exemple). Mais, on est beaucoup plus désarmé devantr celui de la peau.
Cependant, comme je l'ai signalé dans un article de l'année dernière consacré à l'application Yuka, on peut trouver, en cherchant bien et avec l'aide de Yuka, d'excellents produits pour pas cher du tout. Le lien vers Yuka.
Quand je dis pas cher du tout,c'est moins de 5 euros, ce qui, en cosmétique, est peu commun. Désormais, tous les cosmétiques que j'achète, au Carrefour le plus proche de chez moi en Andalousie, sont qualifiés d'excellents par Yuka. Et, me coutent seulement une vingtaine d'euros… pour deux mois !
Je constate quand je vais à Carrefour que beaucoup de personnes, qui n'hésitent pas à circuler dans la rue en lisant leur smartphone, ne le dégainent absolument pas dans les supermarchés.
Et, pourtant, entre la lecture des caractéristiques précises de ce que l'on veut acheter, et la recherche, dorénavant possible, des articles présentant le meilleur rapport qualité prix, simplement en lisant le code barre avec l'application Yuka, le smartphone se révèle un accessoire indispensable.
A moins bien sûr d'être riche… ou inconscient.
N.B : à propos de l'épilation féminine
Je suis né à un âge où les femmes ne s'épilaient pas. Plus de 3/4 de siècle plus tard, la plupart des femmes qui ont un mari ou un compagnon s'épilent le maillot. En ce qui me concerne, j'apprécie beaucoup ce changement et j'avoue que la vue d'un maillot non épilé, ou simplement de poils sous les bras féminins ne m'attirent absolument pas.
Une mode récente abjure les femmes de ne plus s'épiler. Évidemment, c'est leur droit le plus absolu. Néanmoins, les hommes sont parfaitement en droit également, de ne pas apprécier ce défoulement capillaire.
Certaines doivent penser : de quoi il se mêle, l'ancêtre ?
L'ancêtre leur répondrait que, contrairement à ce que beaucoup pensent, la libido, chez les hommes comme chez les femmes, n'a pas d'âge 😉.
Ce que disait, à sa façon, Oscar Wilde :
Le dramatique de la vieillesse, ce n'est pas qu'on se fait vieux, c'est qu'on reste jeune. Oscar Wilde
Cependant, pour certains, cette constatation n'est pas un drame, mais une merveilleuse découverte…
Pour le reste je le fais moi-même, pour tout le corps. Il existe maintenant d'excellentes tondeuses qui m'évitent ce genre de supplice. Sauf pour le dos évidemment.
J'ai pu constater qu'effectivement notre peau s'habitue à la douleur. Les premières fois lorsqu'on m'épilait certaines parties plus sensibles du dos, cela me faisait mal. À présent, je ne sens plus rien et même, je m'endormirais presque.
Il se trouve que je suis plutôt « métrosexuel », ce qui n'a rien à voir avec le métro et encore moins avec le sexe et qui signifie : « Relatif à un homme soigné, un citadin qui travaille son apparence » . Terme que l'on n'emploie plus beaucoup ; les hommes seraient-ils devenus tous métrosexuels ?
Je n'en suis pas persuadé, même si par rapport à ma jeunesse, il y a eu beaucoup de progrès.
Pourquoi suis-je, à 77 ans dans quelques jours, métrosexuel ?
Parce que, comme aimait à le dire le regretté Philippe Noiret : « Plus la marchandise vieillit, plus il faut soigner l'emballage ».
De plus, il est très pénible de constater chaque jour les ravages de l'âge sur notre peau, après 60 ans. Toutefois, concernant les hommes, il existe maintenant des cosmétiques qui peuvent aider à ralentir quelque peu le relâchement récurrent de notre épiderme.
Je l'ai constaté : on peut faire quelque chose (c'est du travail, et ce doit être quotidiennement) contre le vieillissement des articulations et des muscles jusqu'à un âge très avancé (77 ans, par exemple). Mais, on est beaucoup plus désarmé devantr celui de la peau.
Cependant, comme je l'ai signalé dans un article de l'année dernière consacré à l'application Yuka, on peut trouver, en cherchant bien et avec l'aide de Yuka, d'excellents produits pour pas cher du tout. Le lien vers Yuka.
Quand je dis pas cher du tout,c'est moins de 5 euros, ce qui, en cosmétique, est peu commun. Désormais, tous les cosmétiques que j'achète, au Carrefour le plus proche de chez moi en Andalousie, sont qualifiés d'excellents par Yuka. Et, me coutent seulement une vingtaine d'euros… pour deux mois !
Je constate quand je vais à Carrefour que beaucoup de personnes, qui n'hésitent pas à circuler dans la rue en lisant leur smartphone, ne le dégainent absolument pas dans les supermarchés.
Et, pourtant, entre la lecture des caractéristiques précises de ce que l'on veut acheter, et la recherche, dorénavant possible, des articles présentant le meilleur rapport qualité prix, simplement en lisant le code barre avec l'application Yuka, le smartphone se révèle un accessoire indispensable.
A moins bien sûr d'être riche… ou inconscient.
N.B : à propos de l'épilation féminine
Je suis né à un âge où les femmes ne s'épilaient pas. Plus de 3/4 de siècle plus tard, la plupart des femmes qui ont un mari ou un compagnon s'épilent le maillot. En ce qui me concerne, j'apprécie beaucoup ce changement et j'avoue que la vue d'un maillot non épilé, ou simplement de poils sous les bras féminins ne m'attirent absolument pas.
Une mode récente abjure les femmes de ne plus s'épiler. Évidemment, c'est leur droit le plus absolu. Néanmoins, les hommes sont parfaitement en droit également, de ne pas apprécier ce défoulement capillaire.
Certaines doivent penser : de quoi il se mêle, l'ancêtre ?
L'ancêtre leur répondrait que, contrairement à ce que beaucoup pensent, la libido, chez les hommes comme chez les femmes, n'a pas d'âge 😉.
Ce que disait, à sa façon, Oscar Wilde :
Le dramatique de la vieillesse, ce n'est pas qu'on se fait vieux, c'est qu'on reste jeune. Oscar Wilde
Cependant, pour certains, cette constatation n'est pas un drame, mais une merveilleuse découverte…