On me dira : mais, l'amour ?
Je répondrai, comme Brassens, il n'y a pas d'amour heureux.
Pourquoi ?
Parce que s'il est difficile d'être heureux seul, c'est deux fois plus difficile quand on est deux.
Pour être heureux à deux il faut parvenir à une fusion totale avec l'être aimé. Il ne faut pas qu'un des deux aime l'autre plus que l'autre ne l'aime. Ce qui, sur la durée, est la plupart du temps impossible.
Il faut aimer les défauts de l'autre autant que ses qualités. Là encore, cela résiste très mal au temps. C'est même souvent le contraire qui se produit : les qualités que l'on aimait chez l'autre deviennent, à la longue, insupportables.
Enfin, le mariage est une pratique sociale vouée à l'échec, surtout de nos jours, car il est impossible à la plupart des couples de maintenir un attrait sexuel réciproque pendant toute une vie.
A coté de tous ces aléas vivre seul est beaucoup plus simple.
À condition d'être capable d'assumer seul ses propres défauts, sans avoir besoin de les partager avec quelqu'un d'autre. De fait, très peu de gens sont capables de s'assumer seul, avec leurs qualités et surtout leurs défauts.
Alors, ils se mettent en quête de « l’âme sœur ». Et, ce faisant, multiplient leurs problèmes et accessoirement leurs dépenses, par deux.
Pour s'apercevoir un jour ou l'autre que, comme le disait Alexandre Dumas, les chaînes du mariage sont si lourdes qu'il faut parfois être trois pour les porter (voire quatre 😉).
Reste le problème le plus important de la solitude : la sexualité en solitaire. Si elle est facilement résolue chez les jeunes gens, elle est plus difficile à vivre lorsqu'on avance en âge.
Par ailleurs, par rapport à rien cela peut être satisfaisant, mais si on a connu les joies de la sexualité à deux, c'est un peu …primaire.
Certes, il existe l'homosexualité mais, il faut aimer, et personnellement ce n'est pas ma tasse de thé.
On peut aussi se résoudre à l'abstinence. Mon taux de testostérone, même à mon âge avancé, ne me permet pas d'envisager cette possibilité.
Il existe une solution, que j'ai adoptée depuis longtemps et qui me satisfait pleinement quand je ne peux trouver… chaussure à mon pied.
Si cela vous intéresse vous la trouverez dans la rubrique sexualité de ce site. À cette adresse. Pour information, cet article a été lu 222 159 fois, à ce jour. Juste pour dire que je ne suis pas le seul à m'intéresser à ce sujet 😉
Pour toutes ces raisons, considérant que je vis seul depuis 25 ans (après avoir été marié deux fois et eu deux fois deux enfants) et que contrairement aux statistiques je suis, à bientôt 75 ans et jusqu’à ce jour, en très bonne santé et parfaitement heureux, je valide la citation de Baudelaire.
Laquelle, comme vous pouvez le constater, peut amener à des réflexions peut être intéressantes, mais certainement inattendues.
Je répondrai, comme Brassens, il n'y a pas d'amour heureux.
Pourquoi ?
Parce que s'il est difficile d'être heureux seul, c'est deux fois plus difficile quand on est deux.
Pour être heureux à deux il faut parvenir à une fusion totale avec l'être aimé. Il ne faut pas qu'un des deux aime l'autre plus que l'autre ne l'aime. Ce qui, sur la durée, est la plupart du temps impossible.
Il faut aimer les défauts de l'autre autant que ses qualités. Là encore, cela résiste très mal au temps. C'est même souvent le contraire qui se produit : les qualités que l'on aimait chez l'autre deviennent, à la longue, insupportables.
Enfin, le mariage est une pratique sociale vouée à l'échec, surtout de nos jours, car il est impossible à la plupart des couples de maintenir un attrait sexuel réciproque pendant toute une vie.
A coté de tous ces aléas vivre seul est beaucoup plus simple.
À condition d'être capable d'assumer seul ses propres défauts, sans avoir besoin de les partager avec quelqu'un d'autre. De fait, très peu de gens sont capables de s'assumer seul, avec leurs qualités et surtout leurs défauts.
Alors, ils se mettent en quête de « l’âme sœur ». Et, ce faisant, multiplient leurs problèmes et accessoirement leurs dépenses, par deux.
Pour s'apercevoir un jour ou l'autre que, comme le disait Alexandre Dumas, les chaînes du mariage sont si lourdes qu'il faut parfois être trois pour les porter (voire quatre 😉).
Reste le problème le plus important de la solitude : la sexualité en solitaire. Si elle est facilement résolue chez les jeunes gens, elle est plus difficile à vivre lorsqu'on avance en âge.
Par ailleurs, par rapport à rien cela peut être satisfaisant, mais si on a connu les joies de la sexualité à deux, c'est un peu …primaire.
Certes, il existe l'homosexualité mais, il faut aimer, et personnellement ce n'est pas ma tasse de thé.
On peut aussi se résoudre à l'abstinence. Mon taux de testostérone, même à mon âge avancé, ne me permet pas d'envisager cette possibilité.
Il existe une solution, que j'ai adoptée depuis longtemps et qui me satisfait pleinement quand je ne peux trouver… chaussure à mon pied.
Si cela vous intéresse vous la trouverez dans la rubrique sexualité de ce site. À cette adresse. Pour information, cet article a été lu 222 159 fois, à ce jour. Juste pour dire que je ne suis pas le seul à m'intéresser à ce sujet 😉
Pour toutes ces raisons, considérant que je vis seul depuis 25 ans (après avoir été marié deux fois et eu deux fois deux enfants) et que contrairement aux statistiques je suis, à bientôt 75 ans et jusqu’à ce jour, en très bonne santé et parfaitement heureux, je valide la citation de Baudelaire.
Laquelle, comme vous pouvez le constater, peut amener à des réflexions peut être intéressantes, mais certainement inattendues.