Le cauchemar américain. Dessin de Chapatte
N.D.L.R
En fait les États-Unis sont le pays riche...le plus pauvre du monde.
C'est-à-dire que le pays est riche mais que la majorité de ses habitants n'a pas les moyens d'y vivre.
De plus ce sont les plus pauvres d'entre eux qui ont élu le milliardaire Trump comme président (?) Lequel n'a eu de cesse, depuis qu'il est élu, de défaire ce qu'Obama avait fait en matière de sécurité sociale aux États-Unis (Obamacare)
En revanche, grâce à notre Sécurité Sociale que le monde entier nous envie, on peut dire que la France est un pays où les pauvres sont les plus riches du monde.
En dépit d'un président qui avant la crise des gilets jaunes, et maintenant celle du Coronavirus, n'avait qu'une ambition : privatiser cette Sécurité Sociale qui selon lui coûte un « pognon de dingue ».
Pognon de dingue qui lui a permis de financer la plupart des concessions accordées aux gilets jaunes et maintenant d'alléger considérablement les dépenses de l'État consécutives à la crise sanitaire du Coronavirus.
Et de permettre aux Français de se faire soigner sans craindre d'être ruinés.
Cliquez ici pour lire l'article
En fait les États-Unis sont le pays riche...le plus pauvre du monde.
C'est-à-dire que le pays est riche mais que la majorité de ses habitants n'a pas les moyens d'y vivre.
De plus ce sont les plus pauvres d'entre eux qui ont élu le milliardaire Trump comme président (?) Lequel n'a eu de cesse, depuis qu'il est élu, de défaire ce qu'Obama avait fait en matière de sécurité sociale aux États-Unis (Obamacare)
En revanche, grâce à notre Sécurité Sociale que le monde entier nous envie, on peut dire que la France est un pays où les pauvres sont les plus riches du monde.
En dépit d'un président qui avant la crise des gilets jaunes, et maintenant celle du Coronavirus, n'avait qu'une ambition : privatiser cette Sécurité Sociale qui selon lui coûte un « pognon de dingue ».
Pognon de dingue qui lui a permis de financer la plupart des concessions accordées aux gilets jaunes et maintenant d'alléger considérablement les dépenses de l'État consécutives à la crise sanitaire du Coronavirus.
Et de permettre aux Français de se faire soigner sans craindre d'être ruinés.
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