Le site Acrimed.org, dont je suis un fidèle lecteur, a dressé de lui un portrait en trois articles dont le moins qu'on puisse dire est qu'il est de nature à dissiper quelques doutes.
Ainsi que vous le lirez, Acrimed n'attaque pas directement M. Niel. Il s'attaque à ceux, qui pour des raisons pas toujours désintéressées, dressent de cet entrepreneur atypique et fortuné un portait trop souvent flatteur.
Autrement dit, "le trublion des médias", le "sauveur des médias" est un entrepreneur très avisé qui sait soigner sa com. Comme beaucoup d'autres de ses congénères, il sait depuis longtemps que s'il est le meilleur dans son domaine, il est très important que le monde en soit persuadé.De plus, passer pour un révolutionnaire qui n'a peur de rien ni de personne quand on est multimilliardaire, ça doit être valorisant.
De ce côté-là, à l’instar des deux autres milliardaires du marketing de notre époque, à savoir Bill Gates et Steve Jobs, on peut dire que Xavier Niel a très bien réussi.
Toutefois on n’est pas obligé d’être idiot pour autant et de gober sans sourciller toutes les fables qui circulent à son propos.
Quand au rôle pour le moins suspect de la plupart des médias, même ceux qui se piquent d’être parfaitement libres et inféodés à personne, il n’étonnera que les jobards.
Personnellement, je reconnais à Mr Niel un exploit mémorable, à savoir la façon qu’il a eu de mettre le pied dans la fourmilière peu ragoutante des opérateurs français de télécommunications. Je reconnais qu’en faisant cela il a largement contribué à faire baisser des prix qui étaient à la limite du raisonnable.
Mais je reste parfaitement conscient néanmoins qu’il n’a pas fait cela pour rendre service aux consommateurs mais pour arrondir son pécule déjà conséquent.
Ce qui est parfaitement compréhensible pour un grand patron. Mais n’a rien d’atypique…
Lire ici les articles de Laurent Dauré, dont il convient d’admirer le travail … et le courage.
Xavier Niel, le « capitalisme cool » à l’assaut des médias (2) : un patron comme un autre
http://www.acrimed.org/article3795.html
Ainsi que vous le lirez, Acrimed n'attaque pas directement M. Niel. Il s'attaque à ceux, qui pour des raisons pas toujours désintéressées, dressent de cet entrepreneur atypique et fortuné un portait trop souvent flatteur.
Autrement dit, "le trublion des médias", le "sauveur des médias" est un entrepreneur très avisé qui sait soigner sa com. Comme beaucoup d'autres de ses congénères, il sait depuis longtemps que s'il est le meilleur dans son domaine, il est très important que le monde en soit persuadé.De plus, passer pour un révolutionnaire qui n'a peur de rien ni de personne quand on est multimilliardaire, ça doit être valorisant.
De ce côté-là, à l’instar des deux autres milliardaires du marketing de notre époque, à savoir Bill Gates et Steve Jobs, on peut dire que Xavier Niel a très bien réussi.
Toutefois on n’est pas obligé d’être idiot pour autant et de gober sans sourciller toutes les fables qui circulent à son propos.
Quand au rôle pour le moins suspect de la plupart des médias, même ceux qui se piquent d’être parfaitement libres et inféodés à personne, il n’étonnera que les jobards.
Personnellement, je reconnais à Mr Niel un exploit mémorable, à savoir la façon qu’il a eu de mettre le pied dans la fourmilière peu ragoutante des opérateurs français de télécommunications. Je reconnais qu’en faisant cela il a largement contribué à faire baisser des prix qui étaient à la limite du raisonnable.
Mais je reste parfaitement conscient néanmoins qu’il n’a pas fait cela pour rendre service aux consommateurs mais pour arrondir son pécule déjà conséquent.
Ce qui est parfaitement compréhensible pour un grand patron. Mais n’a rien d’atypique…
Lire ici les articles de Laurent Dauré, dont il convient d’admirer le travail … et le courage.
Xavier Niel, le « capitalisme cool » à l’assaut des médias (2) : un patron comme un autre
http://www.acrimed.org/article3795.html
Xavier Niel, le « capitalisme cool » à l’assaut des médias (1) : la construction d’un empire
Xavier Niel, le « capitalisme cool » à l’assaut des médias (3) : le « sauveur » de la presse