La montre de Samsung : réservée à une niche (de riches) Il faudra un Galaxy Notre 3 (700 euros) pour utiliser la montre à 300 euros ! À vos économies !
En revanche il est vrai que si on utilise une phablette, ce qui est mon cas (Zopomobile 950+, moins de 300 euros...en Chine !) le téléphone est ce qu'il y a de moins pratique. Bien sûr, il y a le kit main libre, mais il faut vivre avec en permanence, et ça fait encore plus couillon qu'une phablette à l'oreille. La montre, c'est nul : ce n'est pas fait pour téléphoner ! Une nouveauté intéressante : le mini téléphone annexe proposé par Alcatel ( qui n'est plus français, mais chinois) et Sony. 50 euros chez Alacatel, 300 chez Sony : choisis ton camp, camarade ! À 50 euros, ça devient intéressant et cela me parait la meilleure formule pour accompagner un gros smartphone. Duquel, quand on est habitué, on ne peut plus se passer. Comment peut on encore consulter Internet, ou lire quoi que ce soit, sur un Iphone, ça me dépasse. Ah si ! Faut être accro. Très peu pour moi : je ne crois ni en Dieu, ni au père Noël. Et encore moins à Apple !
Comment peut-on encore dépenser 700 euros dans un smartphone ?
Ca aussi, ça me dépasse ! Regardez ici ce que l'on peut avoir, aujourd'hui, pour moins de 300 euros, en Chine, mais par l'intermédiaire de Français installés là bas. Avec des prix en euros, un Sav, et... peu de taxes. Et qu'on ne dise pas que les smartphones chinois haut de gamme sont de la merde. Ce fut vrai. Ce n'est plus vrai du tout. À force de fabriquer nos matériels haut de gamme, a bas prix (pour les vendeurs seulement, jusqu'à présent) les constructeurs chinois, même petits, nous sont maintenant largement supérieurs.
Même chez Apple, le comble du chic, le nirvana des snobs, les matériels sortent de chez Foxconn, des Chinois de Formose. Le seul qui a rapatrié ses usines aux USA, c'est Motorola, qui comme par hasard, appartient à Google. Lequel est tout ce que l'on veut, sauf le dernier des..
Les télés à plus de 3000 euros !
Bis repetita. Si ça vous intéresse de claquer le peu de pognon qui vous reste dans des écrans ultra -définition ... En ce qui me concerne, je n'ai plus de télé depuis un bon moment, et cela ne me manque absolument pas. J'ai un écran externe 20 pouces sur mon ordinateur portable, même pas Hdmi encore. Je vais peut-être investir dans un écran Hdmi, mais sans tuner bien sûr. C'est pas une poubelle, chez moi !
Les imprimantes connectées aux smartphones !
Comment peut-on encore utiliser une imprimante ? À part dans les bureaux, bien sûr. Cela fait des années que je n'utilise plus cet engin du diable. En 35 ans d'informatique, les imprimantes sont les périphériques qui m'ont toujours causé le plus de problèmes. Depuis quelques années, je ne m'en sers plus.
Mon courrier, comme le vôtre, est électronique
Mes commandes, sur Intrernet, sont électroniques
Mes photos, électroniques, sont sur Picasa, depuis sa sortie. Ma famille, mes amis et même mes lecteurs peuvent y accéder, par l'électronique.
Toutes mes sauvegardes enfin, sont... électroniques. Si jke veux sauvegarder un document important, je le photographie, ou le scanne avec...mon smartphone. Je l'envoie si besoin est, ou le sauvegarde, par l'électronique.
J'ai des quantités de comptes (gratuits) sur le Cloud
100 gigas sur Google Drive (3 euros par mois)
65 gigas, sur Dropbox (gratuit, je suis un bon client)
50 gigas sur Box.com
50 gigas sur Mega
J'en oublie certainement.
Même les administrations n'exigent plus de papier et deviennent électroniques, elles aussi. Les impôts, par exemple. Je fais ma déclaration par Internet depuis le début. Je devrais même (un jour) recevoir mon avis d'impôt par internet !Je ne l'ai pas encore, après plusieurs emails contradictoires, mais je l'aurai un jour, c'est sûr.
Les contraventions, c'est tout électronique et ç'est ce qui marche le mieux ! J'ai un ami, résident comme moi en Thaïlande, qui conduit encore en France (moi de prends le train désormais, avec une carte sénior à 50%, génial) Mon ami n'a jamais vu la contravention qu'on lui a infligé lors d'un récent séjour dans notre beau pays, où il y a désormais, plus de radars que d'arbre au bord des routes. Il a pu la payer par électronique, très facilement. C'est un des services sur Internet parmi les plus rapides et les plus efficients. C'est beaucoup moins compliqué que RueduCommerce ou Cdiscount. Avec une majoration conséquente évidemment, mais c'est le progrès, ça se paie.
Je n'ai plus aucune raison d'utiliser une imprimante. Quant au papier, en Thaïlande, on ne l'utlise même pas dans les toilettes, on se nettoie au karcher ! Voir ici. C'est dire si je ne suis pour rien dans tous ces arbres que l'on abat.
À propos de Berlin, c'est ma ville natale. J'y suis né, en décembre 46, d'un père militaire, maquisard à 16 ans, qui a suivi Leclerc, Division Rhin et Danube, jusqu'à Berlin. Et d'une mère allemande que mon père a connue à Berlin, en escaladant les barbelés du secteur russe (il n'y avait pas encore de mur) pour la rejoindre. Mon père, originaire de Bordeaux, peintre en bâtiment, ne connaissait pas l'allemand. Il est devenu, grâce à l'amour de ma mère, interprète d'un général français. Quant à moi je n'ai parlé qu'allemand de l'âge d'un an, quand j'ai prononcé mes premiers mots, dans la langue de Goethe, jusqu'à l'âge de 3 ans quand nous sommes rentrés à Bordeaux. À partir de ce moment il ma 'était interdit de parler allemand à la maison. il faut dire que dans les années 50, à bordeaux, le bilinguisme franco-allemand n'était pas à la mode, c'est le moins qu'on puisse dire. Mes parents n'ont même pas voulu que je fasse allemand premiere langue au collège. Je l'ai fait en deuxième langue seulement. Je suis allé aussi très souvent en vacances dans le village de ma mère où j'avais le droit, là seulement, de parler allemand.
Mais la langue maternelle, celle de ses premiers mots, c'est quand même quelque chose, car si j'ai des difficultés pour commencer à parler allemand, quand je reste plus de quelques jours en Allemagne, ou avec des Allemands, je fais très vite des progrès considérables. Et avec un accent pas ridicule du tout, pour un français. Je parle même un peu le patois du Pfalz, proche de l'alsacien, pratiqué lors de mes nombreuses vacances d'enfant dans le village de ma mère, Weisenheim a/Sand, à dix kilomètres de Bad Dürkheim. Ce qui ne manque pas d'étonner les Allemands que je rencontre, car eux-mêmes ont du mal à le comprendre.
Je jure encore en Pfälzig ! C'est plus discret qu'en anglais, personne ne comprend, et ça me soulage.