Quelques vérités, pour bien comprendre ce qui se passe en ce moment :
La Grèce est entrée dans l'Europe, suite à une gigantesque implantation de la part d'une des société qui dirigent le monde, j'ai nommé Goldman Sachs. En truquant les chiffres, avec l'aide bienveillante des ineffables « agences de notation » on a fait croire que la Grèce était capable de remplir les conditions demandées à tout pays pour entrer dans l'Europe. Ce qui était évidemment faux, ce pauvre pays étant depuis des décennies sous la coupe réglée des oligarques locaux, c'est à dire essentiellement les armateurs Grecs et leurs affidés.
De ce mauvais coup porté à la Grèce et à l'Europe Goldman Sachs et les « agences de notation » n'ont jamais été punies. Bien au contraire Goldman Sachs a placé ces hommes à tous les postes névralgiques de la planète. N'est-ce-pas M. Draghi, actuel président de la Banque Centrale Européenne ? Ce qui prouve, s'il en était besoin, que je n'exagère absolument pas quand je dis que cette société dirige le monde.
L'argent que l'on déverse à flot sur la Grèce n'est pas donné, mais prêté, avec des intérêts conséquents. D'autant plus conséquents que la B.C.E, membre de la Troïka, le prête généreusement aux États et aux banques, à taux zéro ! A ce (gros) jeu l'Allemagne, qui couine constamment au sujet du mal que l'on fait à sa cassette, et la France qui ne dit rien mais n'en prête pas moins, n'ont pas été les derniers à en profiter.
C'est ainsi que la plupart des sommes qui ont été versées par ces généreux donateurs, avec intérêts, ne sert plus depuis longtemps à améliorer le sort des Grecs, qui en auraient bien besoin, mais juste à rembourser les intérêts de la dette Grecque, énormes désormais. Autrement dit, depuis longtemps la Troïka n'aide pas la Grèce, mais se paie sur la bête. Elle ne s'arrêtera que lorsque la bête sera morte. Bel exemple de solidarité européenne n'est-il-pas ?
Désormais, la Troïka a tellement exagéré que ce n'est pas M. Tsipras seulement qui lui barre le chemin, mais le peuple Grec tout entier qui, après avoir tout perdu souhaite arrêter les frais, c'est le cas de le dire. Que les Européens n'apprécient pas M. Tsipras, on peut le comprendre. Mais on ne peut reprocher à un homme politique de faire ce pourquoi il a été élu. A moins d'être un financier véreux, qui voit rouge dès qu'il entend les mots démocratie et referendum. Ou de s'appeler François Hollande.
Jusqu'à présent, la Troïka a réussi à détourner les résultats de deux référendums : en France, grâce à la complicité indigne de Nicolas Sarkozy, et en Irlande. Mais en Grèce ce ne sera pas la même chose du tout car pour une fois le dirigeant de ce pays et son peuple, sont d'accord pour dire que cela suffit et qu'il faut désormais dire non définitivement à tous ceux qui les étranglent.
M. Tsipras est redoutable car il a actionné, en temps et en heure, le seul levier qui peut faire vraiment peur à la Troïka : le référendum, et donc le recours au peuple, en dernier recours. De plus, il a l'audace de recommander, à haute voix et officiellement, de répondre non aux propositions des créanciers de la Grèce. De quoi rendre fous de rage, les rapaces qui nous gouvernent, nous aussi, je me permets de le rappeler.
Ce qui effraie le plus la Troïka, ce n'est pas de perdre de l'argent, ils en ont déjà récupéré une bonne partie, c'est que d'autres peuples en Europe, se mettent eux aussi à réclamer un référendum pour remettre enfin les financiers à leur place, derrière leurs caisses enregistreuses, et les pendules à l'heure des peuples et plus des combinards véreux qui dirigent, depuis trop longtemps, ce monde pourri.
Si on met en place, demain, un référendum en France, et certainement dans d'autres pays de l'Europe, sur le maintien ou l'abandon de l'Europe actuelle, que croyez-vous qu'il adviendra ? Bien entendu, il n'est même pas question de poser cette question. Mais cela prouve quoi ? Que les peuples et les dirigeants de l'Europe ne sont plus du tout d'accord sur la façon dont l'Europe est dirigée. L'exemple lamentable que donne actuellement les dirigeants de l'Europe avec la Grèce ne plaidera certainement pas en leur faveur.
La question est : combien de temps cela va-t-il encore durer avant que l'on ne se décide à mettre les point sur les i et le poing sur la table ? A part, pour les marchands et les financiers, l'Europe, dans l'état actuel des choses ne marche pas. Les grands gagnants de la construction européenne, précédemment cités, pressurent tellement les peuples, que ceux-ci ne peuvent même plus alimenter la machine, à savoir la consommation, sans laquelle le système ne peut plus fonctionner. Les grandes entreprises gagnent tellement d'argent qu'elles sont devenues de banques qui, au lieu de participer à l'investissement, ne songent qu'à arrondir leur magot. Les salariés du privé sont transformés en C.D.D. Les fonctionnaires n'ont pas été augmentés depuis plusieurs années, leur nombre diminue tous les jours et leurs tâches augmentent. Tout cela pour permettre aux fonds de pension et aux banques "d'investir" dans la dette Grecque et autres opérations aussi sordides que juteuses ?
Ça va très mal finir. Et pas seulement pour la Grèce.
La Grèce est entrée dans l'Europe, suite à une gigantesque implantation de la part d'une des société qui dirigent le monde, j'ai nommé Goldman Sachs. En truquant les chiffres, avec l'aide bienveillante des ineffables « agences de notation » on a fait croire que la Grèce était capable de remplir les conditions demandées à tout pays pour entrer dans l'Europe. Ce qui était évidemment faux, ce pauvre pays étant depuis des décennies sous la coupe réglée des oligarques locaux, c'est à dire essentiellement les armateurs Grecs et leurs affidés.
De ce mauvais coup porté à la Grèce et à l'Europe Goldman Sachs et les « agences de notation » n'ont jamais été punies. Bien au contraire Goldman Sachs a placé ces hommes à tous les postes névralgiques de la planète. N'est-ce-pas M. Draghi, actuel président de la Banque Centrale Européenne ? Ce qui prouve, s'il en était besoin, que je n'exagère absolument pas quand je dis que cette société dirige le monde.
L'argent que l'on déverse à flot sur la Grèce n'est pas donné, mais prêté, avec des intérêts conséquents. D'autant plus conséquents que la B.C.E, membre de la Troïka, le prête généreusement aux États et aux banques, à taux zéro ! A ce (gros) jeu l'Allemagne, qui couine constamment au sujet du mal que l'on fait à sa cassette, et la France qui ne dit rien mais n'en prête pas moins, n'ont pas été les derniers à en profiter.
C'est ainsi que la plupart des sommes qui ont été versées par ces généreux donateurs, avec intérêts, ne sert plus depuis longtemps à améliorer le sort des Grecs, qui en auraient bien besoin, mais juste à rembourser les intérêts de la dette Grecque, énormes désormais. Autrement dit, depuis longtemps la Troïka n'aide pas la Grèce, mais se paie sur la bête. Elle ne s'arrêtera que lorsque la bête sera morte. Bel exemple de solidarité européenne n'est-il-pas ?
Désormais, la Troïka a tellement exagéré que ce n'est pas M. Tsipras seulement qui lui barre le chemin, mais le peuple Grec tout entier qui, après avoir tout perdu souhaite arrêter les frais, c'est le cas de le dire. Que les Européens n'apprécient pas M. Tsipras, on peut le comprendre. Mais on ne peut reprocher à un homme politique de faire ce pourquoi il a été élu. A moins d'être un financier véreux, qui voit rouge dès qu'il entend les mots démocratie et referendum. Ou de s'appeler François Hollande.
Jusqu'à présent, la Troïka a réussi à détourner les résultats de deux référendums : en France, grâce à la complicité indigne de Nicolas Sarkozy, et en Irlande. Mais en Grèce ce ne sera pas la même chose du tout car pour une fois le dirigeant de ce pays et son peuple, sont d'accord pour dire que cela suffit et qu'il faut désormais dire non définitivement à tous ceux qui les étranglent.
M. Tsipras est redoutable car il a actionné, en temps et en heure, le seul levier qui peut faire vraiment peur à la Troïka : le référendum, et donc le recours au peuple, en dernier recours. De plus, il a l'audace de recommander, à haute voix et officiellement, de répondre non aux propositions des créanciers de la Grèce. De quoi rendre fous de rage, les rapaces qui nous gouvernent, nous aussi, je me permets de le rappeler.
Ce qui effraie le plus la Troïka, ce n'est pas de perdre de l'argent, ils en ont déjà récupéré une bonne partie, c'est que d'autres peuples en Europe, se mettent eux aussi à réclamer un référendum pour remettre enfin les financiers à leur place, derrière leurs caisses enregistreuses, et les pendules à l'heure des peuples et plus des combinards véreux qui dirigent, depuis trop longtemps, ce monde pourri.
Si on met en place, demain, un référendum en France, et certainement dans d'autres pays de l'Europe, sur le maintien ou l'abandon de l'Europe actuelle, que croyez-vous qu'il adviendra ? Bien entendu, il n'est même pas question de poser cette question. Mais cela prouve quoi ? Que les peuples et les dirigeants de l'Europe ne sont plus du tout d'accord sur la façon dont l'Europe est dirigée. L'exemple lamentable que donne actuellement les dirigeants de l'Europe avec la Grèce ne plaidera certainement pas en leur faveur.
La question est : combien de temps cela va-t-il encore durer avant que l'on ne se décide à mettre les point sur les i et le poing sur la table ? A part, pour les marchands et les financiers, l'Europe, dans l'état actuel des choses ne marche pas. Les grands gagnants de la construction européenne, précédemment cités, pressurent tellement les peuples, que ceux-ci ne peuvent même plus alimenter la machine, à savoir la consommation, sans laquelle le système ne peut plus fonctionner. Les grandes entreprises gagnent tellement d'argent qu'elles sont devenues de banques qui, au lieu de participer à l'investissement, ne songent qu'à arrondir leur magot. Les salariés du privé sont transformés en C.D.D. Les fonctionnaires n'ont pas été augmentés depuis plusieurs années, leur nombre diminue tous les jours et leurs tâches augmentent. Tout cela pour permettre aux fonds de pension et aux banques "d'investir" dans la dette Grecque et autres opérations aussi sordides que juteuses ?
Ça va très mal finir. Et pas seulement pour la Grèce.