La tradition veut que les humains soient ainsi lâchés dans les rues étroites de la ville et courent au hasard. Les taureaux doivent alors leurs échapper, ce qui peut parfois donner un spectacle rare pour les uns mais aussi des incidents à répétition pour les autres. « Les humains de cette année étaient assez costauds, on a eu plusieurs bêtes qui ont parfois été soulevées à mains nues, d’autres ont même été mordues aux membres inférieurs » constate un éleveur.
Créé en 1992, cette fête se veut le pendant des grands lâchers de taureaux de la San Fermin mais certains estiment qu’elle est désormais passée de date et même potentiellement dangereuse pour les taureaux. « J’ai l’impression que chaque année les humains deviennent de plus en plus gros et très musculeux, bien sûr on soupçonne les filières d’alimentations mais on ne peut rien prouver » se lamente une éleveuse dont deux taureaux ont été blessés par un humain.
Plusieurs voix s’élèvent désormais pour bannir et faire interdire ces lâchers d’humains. « Faut-il qu’il y ait un drame et qu’un taureau trouve la mort pour agir ? » se demandent les opposants.
La Rédaction
Le Gorafi.fr
Créé en 1992, cette fête se veut le pendant des grands lâchers de taureaux de la San Fermin mais certains estiment qu’elle est désormais passée de date et même potentiellement dangereuse pour les taureaux. « J’ai l’impression que chaque année les humains deviennent de plus en plus gros et très musculeux, bien sûr on soupçonne les filières d’alimentations mais on ne peut rien prouver » se lamente une éleveuse dont deux taureaux ont été blessés par un humain.
Plusieurs voix s’élèvent désormais pour bannir et faire interdire ces lâchers d’humains. « Faut-il qu’il y ait un drame et qu’un taureau trouve la mort pour agir ? » se demandent les opposants.
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