C’est donc fait.
Le gouvernement vient bien, dans le même temps, de rendre 4,5 milliards d’impôt aux plus fortunés et de supprimer 150 000 contrats aidés.
Robin des Bois volait aux riches pour donner aux pauvres. Macron fait plus chacal, plus couillu, beaucoup moins démago : il enlève aux plus fragiles pour rendre aux plus vernis.
Frapper les actifs les plus vulnérables - et à travers eux les structures qui les employaient, la plupart associatives, ou œuvrant dans des domaines créateurs de lien : éducation, santé, culture… - pour redonner un peu d’air bien mérité aux propriétaires d’actions, de dividendes et de yachts.
N.D.L.R
Robin des Bois volait aux riches pour donner aux pauvres. Macron fait plus chacal, plus couillu, beaucoup moins démago : il enlève aux plus fragiles pour rendre aux plus vernis.
C'est beaucoup plus facile car le riche, si on l'embête, il s'en va. Alors que le pauvre...
Macron n'invente rien, il se contente de reprendre la formule d'Alphonse Allais qui, en son temps, a fait beaucoup rire :
“Il faut prendre l'argent là où il se trouve, c'est-à-dire chez les pauvres. Bon d'accord, ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres.”
Lire l'article de Libé ici :
Le gouvernement vient bien, dans le même temps, de rendre 4,5 milliards d’impôt aux plus fortunés et de supprimer 150 000 contrats aidés.
Robin des Bois volait aux riches pour donner aux pauvres. Macron fait plus chacal, plus couillu, beaucoup moins démago : il enlève aux plus fragiles pour rendre aux plus vernis.
Frapper les actifs les plus vulnérables - et à travers eux les structures qui les employaient, la plupart associatives, ou œuvrant dans des domaines créateurs de lien : éducation, santé, culture… - pour redonner un peu d’air bien mérité aux propriétaires d’actions, de dividendes et de yachts.
N.D.L.R
Robin des Bois volait aux riches pour donner aux pauvres. Macron fait plus chacal, plus couillu, beaucoup moins démago : il enlève aux plus fragiles pour rendre aux plus vernis.
C'est beaucoup plus facile car le riche, si on l'embête, il s'en va. Alors que le pauvre...
Macron n'invente rien, il se contente de reprendre la formule d'Alphonse Allais qui, en son temps, a fait beaucoup rire :
“Il faut prendre l'argent là où il se trouve, c'est-à-dire chez les pauvres. Bon d'accord, ils n'ont pas beaucoup d'argent, mais il y a beaucoup de pauvres.”
Lire l'article de Libé ici :
Le mythe du ruissellement